Bilan de la pandémie covid-19 pour l’année 2020

Par Dominique  Delawarde.

Avant propos :  Quel premier bilan «à chaud» de la pandémie pour le monde en 2020 ?

En 2020, sur 218 pays ou territoires affectés-ou pas par la Pandémie, 12 pays seulement auront regroupé, à eux seuls, 71,2%  des  1,625 000  décès  Covid-19 de la planète. (Voir STATISTA :

En 2020, 117 pays ou territoires (sur 218) auront compté, en moyenne sur l’année, moins de 1 décès par jour de la Covid-19 (moins de 365 décès sur l’année).

En 2020, 174 pays auront compté, en moyenne, moins de 10 décès par jour de la Covid-19.

Dans ces 174 pays ou territoires, les pertes Covid auront été tout simplement infinitésimales si l’on veut bien considérer que 75% de ces décès auraient pu, ou dû, être attribués à un autre facteur de comorbidité, dont l’âge et les pathologies cardio-vasculaires.

En 2020, 1% des habitants de la planète aura été testé positif à la Covid-19 mais seulement 0,25 pour mille habitants en sera décédé (1 décès sur 4 000 habitants). Rien à voir avec les grandes épidémies des siècles passés….. d’autant que ces décès ont majoritairement concerné des personnes âgées, voire très âgées, ayant une très faible espérance de vie.

On ne le répétera jamais assez, cette pandémie aura été plus médiatique et politique  que meurtrière. La meute médiatique mondiale aura été conduite par les médias occidentaux, tout simplement parce que l’occident, mal préparé à ce genre «d’incident de parcours», aura subi l’essentiel des pertes et que le rapport à la mort n’y est pas le même que sur le reste de la planète. La vie d’un «occidental» n’a pas de prix … (prétendent les vendeurs de vaccins hors de prix, Big Pharma et compagnie. NDLR).

En occident, on s’imagine peut être trop, et certainement à tort, que l’on va pouvoir prolonger la vie éternellement à force d’injection ou d’ingestion de produits «médico-dopants». On s’acharne à vouloir prolonger, à tout prix, la vie de personnes très âgées, atteintes de multiples pathologies, toutes potentiellement mortelles. Ces personnes âgées ont déjà très largement dépassé l’espérance de vie moyenne de leur pays. En occident, on «consomme» sans modération des médicaments pour un oui ou pour un non, et très souvent par confort. On se vaccine à qui mieux mieux au point que certaines personnes âgées quitteront notre planète avec plus de 60 injections vaccinales au compteur (le vaccin contre la grippe est annuel….). Est ce bien raisonnable? (Il ne faut pas accabler les vieux patients et la populace  en général qui ne décident de rien pas même de ses invités au repas de Noël. NDLR).

L’ «homo occidentalus» est très majoritairement «égocentrique». Il ne voit pas toujours l’intérêt de s’occuper des malnutris, dont plus de 8 millions décèdent chaque année sur la planète, alors qu’il aurait les moyens de le faire. Il préfère investir dans la recherche et la consommation de produits pharmaceutiques dans le but de sauver ou prolonger «sa propre vie», ou dans les armements destinés à soumettre ceux qui n’adhèrent pas à «ses valeurs», proclamées «universelles», ou ceux qui refusent de servir «ses intérêts». (Encore une fois  nous répétons que l’auteur ne doit pas accuser la populace victime des malversations des assassins du Big Pharma et des larbins politiciens à la solde du capital. NDLR).

L’homo occidentalus, qui manque d’humilité, se prend trop souvent pour Dieu, capable de gouverner et de maîtriser toute chose. Cette épidémie de Covid-19 aura eu l’immense mérite de remettre cet homo occidentalus à sa juste place….. celle d’un simple mortel. Mais cette épidémie aura constitué un véritable tsunami pour les grandes économies occidentales dont certaines gouvernances ont très clairement failli. Elle aura bouleversée les normes sociales et sociétales considérées comme acquise depuis très longtemps dans l’imagination populaire. Ses conséquences seront probablement plus durables que ne l’imaginent et le proclament les politiciens de l’Ouest, bardés de certitudes, qui comptent beaucoup sur un hypothétique grand «Reset» pour se «refaire une santé». (Il y aura effectivement un grand Reset de l’économie politique capitaliste en ce sens qu’une Grande Dépression verra s’effondrée les bourses, les monnaies et le capital financier, puis le reste de l’économie mondialisée… alors Adieu les services sanitaires, éducatifs, culturels, sportifs et sociaux du capitalisme en faillite…il n’y en aura plus que pour les services de police. NDLR).

Certains pays seront «déclassés» de manière irréversible. Les reconstructions ou refondations seront longues, à n’en pas douter, dans les pays les plus affectés (UE de l’Ouest et USA), et surtout dans les pays pour lesquels une trop large part des populations privilégie désormais le loisir au travail. Le monde «non-occidental» en tirera probablement profit pour bousculer les hiérarchies économiques et géopolitiques établies. (Il faut le dire franchement M. Delawarde… le bloc des pays asiatiques autour de la superpuissance impérialiste chinoise prendra la tête hégémonique du monde capitaliste réunifié – monopolisé et peut-être après une guerre bactériologique mondialisée dont cette petite pandémie n’aura été qu’un entrainement avant la tempête ! NDLR).

 Mais quid de cette épidémie en France ?

L’examen du tableau ci après permet à chacun de re-situer les effets de la pandémie dans le contexte de la mortalité française des 4 dernières années. S’il y aura bien une surmortalité relevée en 2020, celle-ci ne semble pas dramatique, d’autant que les périodes de surmortalité sont généralement suivies de périodes de sous mortalité. Ceux qui sont décédés en 2020 ne seront plus en situation de pouvoir décéder à nouveau en 2021 ou 2022.

Pour relativiser l’importance des 2 épisodes épidémiques 2020 en France, il faut se souvenir qu’au mois de Janvier 2017, pic épidémique de la grippe saisonnière de cette année là, le nombre de décès en France, toutes causes confondues,  a été, selon l’INSEE, de 66 990. Ce nombre de décès était supérieur à celui d’avril 2020, pic épidémique de la crise Covid-19: 66 956 décès. Nos médias et nos hommes politiques n’en avaient pas fait tout un fromage, nos structures hospitalières avaient tenu, et la France n’avait pas eu recours au confinement général du pays, solution moyenâgeuse,  pour limiter la contagion et la létalité d’un virus grippal 2017 particulièrement meurtrier.

Pour remettre la mortalité mensuelle française en perspective, il faut rappeler que celle ci a varié, entre 2017 et 2020, entre un plus bas estival de 43 400 et un plus haut hivernal à 66 990, relevés  en juillet et janvier 2017. Aucun des mois de l’année 2020 n’est sorti de ces limites, jusqu’à présent et le mois de décembre ne fera pas exception. A l’échelle de l’histoire, cette épidémie sera donc un non-événement «démographique», mais restera comme un bouleversement majeur de notre économie, de notre société et sans doute des grands équilibres géo-économique et géopolitique mondiaux. (Il faut le répéter sans cesse tous les vecteurs et tous les facteurs de la crise économique-politique sont en place depuis la crise financière de 2008 – la pseudo-pandémie aura été une opportunité pour rejeter la responsabilité de l’effondrement du système sur un phénomène sanitaire «naturel» et sur la populace qui enfreint les restrictions que les larbins politiciens concoctent allègrement. NDLR).

 La stratégie du confinement généralisé sauve-t-elle vraiment des vies et combien?

Toutes les projections apocalyptiques faites par les «scientifiques»(?) (ceux qui tiennent le haut du pavé et qui sont à l’origine des mesures de confinement général prises par certains gouvernements) se sont avérées fausses, et pas qu’un peu. Ceux ci prévoyaient, pour la Suède,     96 000 décès pour la fin avril, elle en aura compté 12 fois moins sur l’année entière, sans jamais avoir confiné.

Évoquons aussi, le cas du Brésil, dont le Président Bolsonaro, très critiqué par les politiques et les médias français parce qu’il disait que le confinement était une solution de pays riche et qu’il n’en voulait pas pour son pays. En fin d’année 2020, le Brésil, grand pays latin comme la France, l’Espagne et l’Italie affichera un taux de mortalité bien inférieur à ceux de ces trois pays, champions du monde du confinement.

A chacun de se demander si les intégristes du confinement n’ont pas appliqué, en définitive, un remède pire que le mal …… pour un résultat manifestement peu probant ….. partout où cette solution aura été appliquée sans nuance.

Quid du Bras de Fer entre Gilead et ses obligés d’une part  et l’IHU de Marseille d’autre part ?

4 nouvelles pièces à conviction très intéressantes méritent d’être consultées par les internautes.

1 – La revue mainstream allemande «der Spiegel», l’une  des plus suivies du pays, admet que le faible taux de mortalité allemand s’explique par la liberté laissée aux médecins de ville de prescrire le traitement qui leur paraissait le plus adapté à l’état de leurs patients. Les médecins de ville allemands ont donc, dans la discrétion, massivement prescrit l’hydroxychloroquine: 1,8 millions de doses de chloroquine sur la période février et mars auraient été consommées, selon «der Spiegel» qu’on peut difficilement accuser de complotisme. Le résultat est éloquent. Le taux de mortalité Covid par million d’habitants en Allemagne est de 4 fois inférieur à celui constaté en France. Les autorités sanitaires et la gouvernance française, dont une trop large part est corrompue par «Big Pharma», ont donc interdit la prescription d’un médicament qui aurait pu diviser par 4 le nombre des décès. C’est la seule gouvernance au monde a l’avoir fait en s’appuyant sur une étude frauduleuse publiée puis rétractée par le Lancet. Sur les 60 000 décès attribués au Covid, en France, jusqu’à 45 000 vies auraient donc pu être sauvées, si l’on avait imité l’Allemagne.

2 – Dans la vidéo ci après, le point de vue exposé et surtout très argumenté par Laurent Mucchielli, directeur de recherche au CNRS mérite aussi d’être pris en considération. Le constat et les conclusions sont limpides et difficilement contestables.

3 – Le professeur Philippe Brouqui nous explique «La très vilaine histoire du Remdesivir». Il ne faut pas oublier que c’est bien pour promouvoir ce nouveau médicament que la chloroquine a été aussi vigoureusement combattue par les obligés de Gilead. https://www.youtube.com/watch?v=GZDzAKj-_5A

4 – Enfin, le point de situation hebdomadaire de notre Panoramix national qui a su limiter l’hécatombe dans son agglomération gauloise et qui résiste, encore et toujours, aux assauts de ses détracteurs subventionnés par Big Pharma:  https://www.youtube.com/watch?v=23i-E2DQ47g

(Raoult se prononce : épidémies, traitements, confinements, vaccins – les 7 du quebec NDLR).


Point de situation du Samedi 19 Décembre 2020 0h00 GMT

Depuis le début de l’épidémie:

218 pays ou territoires  ont été affectés par le virus, pour 76 millions de cas déclarés (+4,55 millions en 1 sem).

1,68 million de décès (+79 721en 1 sem ;  53,242 millions de guérisons (+ 3,6 millions en 1 sem).

21,052 millions de cas «actifs»  (+ 857 000 en 1 sem.), dont 106 922 en état critique  (+ 304 en 1 sem.)

  • 34 pays ont déclaré plus de 7 000 décès depuis le début de l’épidémie et comptent 91% des décès: dans l’ordre des pertes: (USA, Brésil, Inde, Mexique, Italie, Royaume Uni, FranceIran, RussieEspagne Argentine, Colombie, Pérou, Allemagne, Pologne, Afrique du Sud, Indonésie, Belgique, Turquie, Ukraine, Chili,  Roumanie, Canada, Équateur, Irak, Pays Bas, République Tchèque, Pakistan, Bolivie, Philippines, Suède,  Hongrie, Bangladesh, Égypte.

A l’échelle de la planète, la pandémie plafonne désormais à une moyenne de 11 400 décès/jour. Ce rebond est important mais n’a pas été brutal.  L’aspect saisonnier de cette maladie virale semble vouloir s’inscrire dans la durée, comme il l’est pour la grippe. 79 721 décès «avec» la Covid en 1 semaine, c’est 2 800 de plus que la semaine dernière.

Pour relativiser encore et toujours les bilans humains de cette pandémie 2020, il convient de rappeler qu’il y a déjà eu, depuis le début de l’année 2020, en  onze mois et trois semaines, 135 millions de naissances, 41,2 millions d’avortements et 56,9 millions de décès dans le monde dont:

–   16,7  millions de décès liés aux pathologies cardio-vasculaires

–   10,4 millions de décès liés à la malnutrition.

–    8 millions de décès liés au cancer,

–    4,85 millions de décès liés au tabagisme,

–    3,8 millions de maladies respiratoires non transmissibles (MNT)

–    2,42 million de décès liés à l’alcool,

–     1,8 million de décès du diabète

–    1,68 million décès «avec» le Covid-19

–    1,6 million de décès de la tuberculose

–    1,31 million de décès d’accident de la circulation,

–    1,05 million de suicides

Ces données sont des estimations tirées des statistiques annuelles de l’OMS et rapportées à la période considérée (11 mois et 18 jours).

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